Grichka Bogdanoff, décédé ce mardi 28 décembre, est toujours resté discret sur sa vie sentimentale, quand son frère Igor a quant à lui été marié plusieurs fois.

Grichka Bogdanoff, décédé à 72 ans, est longtemps resté célibataire. L’essayiste français, connu pour avoir vulgarisé la science à la télévision dans les années 1990 et 2000, avait une vie sentimentale très préservée. Cependant, en 2015, d’aucuns lui attribuaient une relation avec une certaine Giulia. En 2019, le frère jumeau d’Igor Bogdanoff s’était affiché avec Fiona. En octobre 2021, Grichka Bogdanoff s’était à nouveau montré en charmante compagnie, mais au bras de Chaymae, cette fois. L’animateur télé n’avait cependant officialisé aucune relation amoureuse. Un célibat qui s’opposait à la profusion d’amour de son frère qui n’a toujours, quant à lui, aucun secret ou presque au sujet de ses différents mariages. Marié à Ludmilla d’Oultremont, puis à Amélie de Bourbon-Parme, Igor Bogdanoff est aujourd’hui fiancé à Julie Jardon, une mannequin.

Si les deux frères n’appréhendaient pas l’amour et la famille de la même façon, ils se plaisaient à l’expliquer scientifiquement. Interviewés par Ici, Paris, en avril 2020, les frères Bogdanoff s’étaient livrés à une analyse fine de leurs personnalités.

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« Je suis dans un dialogue solitaire »

« Je suis fondamentalement un théoricien (j’ai fait des mathématiques) et Igor, un praticien”, observait alors Grichka Bogdanoff, à l’époque où les frères Bogdanoff faisaient la promotion de leur livre Le visage de Dieu.  « Il a fait une thèse de physique. Je suis très abstrait. Lui, concret. J’ai la tête dans les étoiles et Igor les pieds sur terre. Je suis dans un dialogue solitaire ».

Une référence aux étoiles que son agent a reprise pour annoncer son décès, survenu le mardi 28 décembre 2021. “Entouré de l’amour de sa famille et des siens, Grichka Bogdanoff s’est éteint paisiblement, le 28 décembre 2021, pour rejoindre ses étoiles”, a-t-il communiqué. Grichka Bogdanoff, à qui les médecins avaient diagnostiqué le syndrome d’Asperger, était aimé du grand public notamment pour sa façon de s’adresser à lui, dans une forme d’autodérision sur laquelle Christophe Beaugrand est revenu dans nos colonnes.

Article écrit avec la collaboration de 6Médias.

Crédits photos : Federico Pestellini / Panoramic / Bestimage

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